Au-delà de la haine, au-delà de l'hostilité, il y a cette souffrance qui n'en finit jamais. Immuable, elle erre jusqu'à dévorer, rongeant les parois si fragiles d'un être humain, d'un homme perdu. L'odeur de la mort plane encore en ces lieux, en ces ruelles, partout où tu passes alors. Les souvenirs sont éternels, ils ne s'éteignent jamais contrairement à la vie. Le souvenir meurt quand l'Homme se tarit, quand il finit par disparaître, alors peut-être est-ce cela finalement, ta dernière solution, Maxim ? Pourtant, Ô oui pourtant tu vis, tu continues de faire un pas en avant, songeant l'instant d'après que deux en arrière seraient peut-être plus appropriés. Le regard maladroit, c'est presque fébrile que tu tentes en vain d'être ce que tu fus un jour, ce que la veille a emportée. Tu es un monstre qu'ils disent si aisément, sans regarder l'homme qui se meurt lentement derrière. Parce que tu te meurs, cet homme inoffensif que tu étais, il s'éteint progressivement avec les dures paroles de ceux qui se croient encore bons. Tellement blessé, c'est ce qui te défini le mieux encore aujourd'hui. Tellement blessé par cette vie, par cette apparition soudaine, par cette perte incommensurable, par cette femme et cet enfant qui s'en sont allés. Si soudainement l'univers se peint d'une noirceur qui jamais ne s'éclaircit ensuite. Maxim, tu ne sais plus comment faire un pas en avant convenablement.


Le contraste si réel. Il jongle entre cette candeur certaine qui vrille tes pensées, qui vrille ce passé, qui erre encore dans des souvenirs qui ne veulent plus s'effacer, s'oublier. Cette douceur, cette gentillesse qui te scier tant, Maxim, jamais elle ne semble vouloir se défaire de toi. Mais ce monde ne te laisse plus le choix. Il ne t'offre plus de deuxième chance de pouvoir recommencer, de pouvoir te reconstruire pleinement. Il te juge coupable sans comprendre, il te juge condamnable sans savoir, sans connaître cette vérité qui pourtant te semble si évidente. Qui peut seulement croire que tu aies pu tuer ta femme et ton enfant ? Qui peut seulement songer un seul instant que cela soit la seule vérité ? Tu es las. Tu es haineux. Tu es énervé. Tu es fatigué. Tu es blessé de t'avouer vaincu, d'accepter finalement que cette vérité ne soit jamais connue. Que ta seule porte de sortie soit cette fuite qui ne se soldera que par la mort. Alors le contraste se créer si sûrement pour dévoiler ce monstre que les autres voient. Parce que tu n'as plus ce choix justement que tu cherchais tant à toucher du bout des doigts. L'hostilité née. L'intimidation débarque. Le vulgaire arrive. Une monstruosité qui pourtant ne te ressemble pas, Maxim. Tu n'es pas cet homme. Non, disons que tu n'étais pas cet homme. Aujourd'hui tu vis en songeant que ta seule place est celle d'un criminel. Sans scrupules, c'est ce qu'ils diront et pourtant il y a les remords qui hantent, il y a cette humanité qui vibre encore. Tes doigts tremblent, Maxim, mais non, encore une fois, tu n'as plus le choix alors bats-toi pour continuer de respirer. Instinct de survie au milieu des rats de la société. Bats-toi dans les arènes pour pouvoir encore manger. Ferme les yeux sur cette violence qui est venue au monde sous la Lune Rouge. Encaisse les mots qui passent tes lippes. Accepte que les choses ne puissent plus jamais être comme hier. Vis en étalant cette rancoeur et cette haine comme tous les autres.


Alors finalement Maxim, qui es-tu ? Dans cette arène, tu es un combattant, un acharné qui veut encore pouvoir manger, vivre demain. Déterminé à pouvoir respirer une nouvelle fois. Il n'y a cependant plus d'espoirs vains pour toi et tu ne le sais que trop bien. Tu as accepté d'endurer tout cela, d'endurer cette vérité que tu aimerais pourtant voir éclatée. Pourtant... Elle restera enfermée bien sagement jusqu'à la fin des temps.

{ Double-face ; Sans scrupules ; Combattant ; Violent ; Fugitif ; Hostile ; Intimidant ; Hargneux ; Tranchant ; Vulgaire ; S'emporte aisément ; Habile ; Intelligent ; Si seul ; Agonisant ; Souffrant d'une perte bien trop lourde à porter ; Déterminé ; Las ; Blessé ; Haineux ; Rancunier ; Fatigué ; Maladroit ; Fébrile ; Candide pourtant ; Gentil ; Bordélique ; Un poil Alcoolique pour noyer cette peine qui n'en finit jamais ; Insomniaque sur les bords ; Naturellement méfiant ; Sur le qui-vive continuellement ; Prudent ; Doux ; Affectif ; Tactile ; Éloigne les autres automatiquement ; Renfermé ; Se doit de porter ce masque du monstre ; Instinct de survie poussé ; Solitaire ; Un homme qui a tout perdu ; A une justice propre qui est légitime à ses yeux ; Cette double-face se mêle jusqu'à se mouvoir avec les gens ; Capacité d'adaptation certaine ; Si humain finalement ; Ne sait pas où aller, ne sait plus quoi faire ; Perdu...}

Dans la froideur de la Russie, jadis est venu au monde le premier enfant de la famille Yvan, comme un trésor inestimable, tu étais le premier enfant dont rêvait cette femme. Aimé, chérit, les jours se sont écoulés si simplement, si aisément comme si tout ceci était d'un banal hors du commun. Tu revois encore parfaitement cette enfance qui fut, mais qui ne sera jamais plus. Les souvenirs de cette jeune sœur lorsqu'elle vit finalement le jour quelques années après toi. Irina qui vînt combler le manque qu'un fils unique aurait pu endurer, vous vous êtes chamaillés bien entendu pour mieux vous réconcilier ensuite. Et dans cet univers parfait, vous viviez comme si ce monde n'allait jamais changer. Au milieu des rires, des pleures et des jouets, il tournait si parfaitement ce joli monde, mais à présent... tout s'est éteint, tout s'est envolé, dissipé. Les murs se sont effondrés.


Klara. De cette beauté sublime, elle rayonnait ce jour-là lorsqu'au lycée, tes yeux avaient finalement attrapé les siens. Un coup de foudre comme tu ne pensais jamais pouvoir être témoin, parce qu'après tout, les coups de foudre ça n'existent pas. Mais elle était là, devant toi et dans ce regard luisait cette complicité qui déjà était née entre vous. Instant magique, souvenir inoubliable, tu revois encore cette scène et les sentiments sont toujours là, bien présent. Ils errent, vagabonds sans pouvoir trouver chaussure à leur pied, l'homologue que par ce beau jour d'été, ils avaient trouvé. Cherche Maxim, cherche parce que jamais tu ne pourras revoir ce sourire angélique qui peignait si aisément ses traits. L'ange a été déchu, il n'est plus qu'un tas de cendre qui ne peut renaître aujourd'hui. Cependant les souvenirs restent et tu repasses inlassablement ces instants d'un bonheur certain comme pour t'y accrocher fermement. Elle était si belle dans sa robe légère, dans ses chaussures à talons, un fin rouge à lèvres rosée pour habiller son sourire en coin qu'elle t'offrait quand ta voix l'avait enfin atteint. Fébrile, anxieux, nerveux. Les sentiments te semblent encore si réels alors que ton histoire d'amour avait débuté si simplement, d'un regard, d'un sourire, de quelques mots, l'amour était né. Et cet amour a duré, si longtemps que tu as fini par l'épouser. Belle, belle Klara, sublime dans sa robe de mariée, tu songeais passer ta vie à ses côtés, passer le reste de ton existence à la chérir, à l'aimer. Conte de fée.


Tu ressasses ce passé si sûrement et tu revois alors les années qui s'étaient écoulées. Les études qui s'étaient terminées enfin et le travail qui avait alors commencé. Du haut de ta vingtaine, tu rêvais de pouvoir un jour te définir comme un grand chirurgien. C'est acharné que tu travaillais si durement et finalement, oui finalement c'est le miracle de la vie qui avait frappé à te porte d'entrée. Alors que dans son sourire émerveillé, Klara était venue t'annoncer cette grossesse survenue si soudainement. Il y avait tant de sentiments chez toi, mais c'est cet ensemble d'une joie intense qui reste gravé dans ta mémoire encore à ce jour. Tu te revois si clairement t'approcher d'elle pour l'enlacer avec une force certaine et pourtant si tendrement. Cet amas d'amour qui débordait à son encontre, toute cette joie ne venait finalement que de sa présence à elle. C'est à ce point que tu l'aimais, Maxim et c'est à ce point que tu l'aimes toujours. Tant, oui tant de bonheur qui peut-être n'était pas juste, pas mérité pour que l'on te punisse si salement après. Bien loin des doutes que la roue puisse tourner à ce moment précis, tu avais posé tes mains avec délicatesse sur ce ventre qui bientôt commencerait à grandir lui aussi. Cet amour sans fin qui portait alors la preuve qu'il existait bel et bien. En ce temps-là, Maxim, tu étais sans nul doute l'un des hommes les plus heureux de ce monde.


Tu ne sais plus très bien qui de vous deux souhaitais tant venir à New York pour vous reposer, qui voulait tant voir les États-Unis pour la première fois. Tu ne sais plus et pourtant tu aimes à songer que c'était toi, pour que cette erreur repose sur tes épaules. Mais Maxim, tu sais bien que personne ne pouvait prédire cette apparition morbide. Souviens-toi à quel point vous étiez si heureux de poser les pieds dans ce pays, si heureux d'avoir la perspective de passer des vacances ici. Souviens-toi à quel point son sourire était beau, à quel point elle semblait heureuse d'être simplement à tes côtés. Mais... peu importe combien de fois tu repenses à tout ceci, combien de fois tu te remémores ce passé, la réalité réapparaît ensuite. Et alors... Oui, alors tu revois si clairement son expression de peur lorsque cette Lune Rouge était apparue, son expression de souffrance quand les choses avaient commencé à dégénérer si sûrement. Tu as protégé les tiens, avec tout ce que tu avais, tout ce qui était en ton pouvoir à cet instant, tu as faits en sorte que ce jour-là, rien ne vous arrive en songeant que ce serait le plus dur à passer. Maxim, tu n'as jamais songé que toi aussi, tu serais touché.


« Maxim, ça va aller, regarde-moi ! Tout va bien se passer ! » Elle pleure, au travers de tes orbes lourds, tu l'as voit si clairement. Deux semaines se sont écoulées depuis sa grande apparition, bientôt trois en réalité et la peur marque ses traits fatigués à présent. Sa voix sonne si douce cependant, elle cherche à te rassurer et tu sais bien que c'est à toi de le faire en réalité. Il y a cette douleur pourtant qui ronge toute ton entité, comme si à présent, elle se transformait si sûrement. Mais tu n'as pas le droit de penser à toi, Klara a peur, elle ne sait plus ce qu'elle doit faire et la panique générale à envahie cette ville. Tu as envie de la serrer dans tes bras, de la prendre contre toi, mais finalement tu as encore plus peur de cela. Peur de ce que tu es en train de devenir petit à petit. Parce que vous avez vu dehors, ces gens qui finalement se libéraient d'une quelconque autorité, trucidant ceux qui avaient le malheur de passer, violant les femmes et les hommes sans discernement. Ce monde se brisait et Maxim à cet instant, c'est de toi dont tu as peur alors que les pouvoirs ont commencé à se réveiller dès le premier jour. Tellement oppressé par l'idée de la blesser si tu viens à l'effleurer. « Je vais chercher de l'aide ! » Tu tends ton bras pour la retenir, mais déjà elle n'est plus là. « Klara ?! » De quoi as-tu le plus peur à cet instant alors que son dos disparaît dans l'encadrement de la porte ? T'es faible et tu laisses ta femme s'en aller seule dans ces ruelles. Une seconde tu songes à quel point tu es pathétique et lentement tu décides enfin de te lever, déboussolé par cette douleur lancinante qui erre en toi. Longeant le couloir avec difficulté, c'est à ce moment-là que tu remarques enfin. La stupeur. La surprise. La peur. Le dégoût. L'incompréhension. L'horreur. Sur ta mâchoire, il se dessine parfaitement, cet os qui s'y accroche fermement. « Qu'est-ce qui... m'arrive... » tu ne comprends pas, Maxim et dans ton incompréhension tu laisses les minutes s'écouler. Est-ce que Klara a eu peur de ça ? .. Klara ! Alors tu reprends ton chemin, soudainement pressé. Parce que tout ceci se met en place rapidement dans ton esprit en réalisant ce que les gens sont devenus. Ce n'est pas à elle de t'aider et dans ces instants noirs, c'est elle qui est en danger. Il y a ce pressentiment qui te gagne lorsque tu dévales finalement les escaliers, si puissant, si... douloureux. La peur te ronge quand dehors, tu vois les ravages causés par l'humanité et les Beasts. « KLARA ?! » tu cries, Maxim, mais personne ne te répond alors qu'instinctivement tu prends la ruelle qui longe l'immeuble à côté. Lentement tu marches dans cette pénombre légèrement bercée d'une rouge sang éternel jusqu'à heurter un obstacle.


« Kla... Klara ! » tu n'as jamais été aussi pressé de toute ta vie, Maxim alors qu'à ses côtés, tu prends son pouls pour remarquer qu'il bat encore. Tes bras l'entourent et il y a ce sentiment de culpabilité qui lentement se mêle à cette peur. Cette peur qui se répand si violemment alors que le sang repeint le sol. « Klara, réponds-moi ! Ça va aller, je te le promets... reste avec moi ! » que tu murmures en Russe au creux de son oreille, tes lèvres se posant sur son front. Elle respire, si lentement. Si dangereusement bas. « Max... Max... fait attention... il est... peut-être encore là... » Murmure inquiet, elle te parle et pourtant ce n'est pas la joie qui t'inonde alors que tu vois sa main se poser sur le bas de son ventre. « Max... j'ai peur... notre enfant... je ne sens plus rien... sauve notre enfant... » son regard accroche le tien et tu te crispes intérieurement, broyé par cet instant que tu sais tragique déjà. Et pourtant tu refuses de l'accepter. « Je vais t'aider, vous allez tous les deux vous en sortir, reste avec moi ! » son cœur bat, il bat si fort pour toi, mais à présent il s'éteint lentement. Tu ne le sais que trop bien alors que le tien s’accélère dans cette adrénaline effrayante. Peur. Doute. Affolement. Panique. « AIDEZ-MOI !! » tu cries, tu cri si fort en espérant que quelqu'un puisse t'entendre. Tu cries si fort en priant pour que quelqu'un vienne vous aider. Tu n'es pas assez fort pour la sauver. « Max... je t'aime... je t'aime tellement... » elle murmure si faiblement, avec tant de détresses et ton cœur rate un battement soudainement. « Je t'aime, je t'aime tellement aussi ma puce, mais reste avec moi, je t'en prie ! » pourtant... déjà la main qui s'accrochait si fermement à ton bras s'écoule lourdement sur le sol putride. Le monde s'écroule. Le cœur s'arrête. Le dernier souffle traverse ses lippes. Et ta vie, Maxim, se termine ici. « Klara ?! KLARA ?! » tu essayes en vain de lui faire un massage cardiaque. Tu t'acharnes si longuement à essayer alors que les pleures se mélange à la pression, à la peur, à la douleur qui t'arrache le cœur. Les secondes s'envolent, les minutes s'écoulent et finalement, tu t'arrêtes. Ainsi planter à genoux devant son corps inerte, le choc te laisse de marbre dans une expression vide. Elle dure, cette expression alors que tu fixes son visage éteint. Et enfin... Enfin tu cris d'agonie.


Tu cries, Max. Cris d'agonie. Cris du cœur. Cris de détresse. Cris de douleur. Durant des secondes, peut-être même des heures, tu ne peux le dire alors que le temps s'arrête ici. Pour toi, il se termine là. Jamais plus il ne reprendra, pas même alors qu'une voix retentie derrière toi. Au départ tu ne comprends guère ce que l'ont te dit, ton regard vide, froid, inerte se tournant dans leur direction. Et bientôt les mots prennent forme. L'horreur sur leurs visages s'ancre dans ta mémoire. Ils croient... Ils croient que c'est toi. Et toi... toi tu ne comprends pas, comment peuvent-ils seulement penser cela. « Je... JE N'AI PAS TUE MA FEMME !! » que tu cries soudainement, te relevant, mais ils ne veulent rien entendre et tu ne comprends pas. Qui sont ces gens ? La peur te gagne, mais pourquoi t'enfuir ? Maxim, réfléchis, ta vie n'a plus aucun sens maintenant qu'elle est morte et ton enfant aussi. Tout ce que tu chérissais par-dessus tout s'en est allé. C'est ta faute, parce que tu n'as pas su la protéger, parce que... tu n'étais pas là quand elle avait le plus besoin de toi. Tu l'as abandonné. Arrêt. Un instant tu ne bouges plus en réalisant tout ceci. Tu es perdu, Max. Vide. Creux. Ton esprit s'éteint et ton regard abyssal se pose sur eux. Pourtant l'instant d'après, tu fuis. Instinct de survie.


Pourtant tu n'as pas couru si loin alors que soudainement, elle est apparue. Cette chevelure d'un blond comme les blés. Elle est apparue alors que finalement ton corps s'arrêtait pour souffler. Comme dans un mirage, elle se tient là, devant toi. Comme tous les autres, elle est là pour t'arrêter, Maxim. « Je... » Lentement ton esprit revient, la réalité te frappe et tes mains viennent cacher cette détresse sur tes traits. Tu pleures. Tellement. Ça fait si mal putain. Tu viens de tout perdre et ce monde te juge coupable. « Je... Je n'aurai jamais pu tuer ma propre femme et mon enfant, je... Elle était sortie pour chercher de l'aide parce que je suis en train... » tu ne dis rien, tu n'expliques pas alors que l'os se voit si clairement à présent. « J'étais inquiet pour elle alors je suis sortie, mais... » il était trop tard et cette réalité te frappe aussi, si violemment. Tu agonises. La flamme dans tes yeux se meurt. Tu n'es plus rien. Sans elle, sans votre enfant. Ta vie s'écroule. « J'ai essayé... J'ai essayé de la sauver, mais... Ce n'est pas un Beasts qui a fait ça, parce qu'elle m'a dit qu'il était peut-être encore là... » tu t'expliques et pourtant quelque part, tu ne souhaites plus te sauver. « Il faut retrouver ce type !! Il doit payer pour ce qu'il a fait, on ne peut pas le laisser s'en tirer, je vous en prie !! » tu ne cherches pas à te sauver et tu ne sais pas pourquoi elle, elle te croit alors que ses mots engendrent une surprise sans fin sur ton faciès. Et pourtant, il y a soudainement un bref soulagement, comme un miracle. Elle a promis de retrouver le véritable coupable. Maxim tu te rends compte à quel point il suffit d'une seule personne lorsque personne ne te croit, une seule personne pour te maintenir vivant.