Vous aviez cru à la paix après la Lune Rouge. Le gouvernement avait fini par vous y faire croire. Pourtant aujourd'hui vous savez qu'il n'en était rien, que vous n'étiez en réalité que caché derrière une muraille trop fragile. Celle-ci se brise lorsque l'alarme retenti pour la première fois dans l'enceinte de la ville. Chaque quartier de New York résonne en coeur sur cette musique inquiétante. Les Beasts attaquent, voilà ce qu'elle annonce.
Les Agapès sont appelés à combattre, tous autant qu'ils soient. Protéger la population est leur devoir premier. Les Sourgês doivent rentrer chez eux s'ils ne peuvent pas se battre, les autres ne seront pas refusés en tant que renforts. Les Dués sortent de leur cachette afin de pouvoir eux aussi se battre et défendre leur territoire des véritables monstres de ce monde. Les Philias, les oubliés sont enfin acceptés puisqu'il y a bien plus terrifiants qu'eux là dehors. Les Eros ne seront pas payés pour cette journée de labeur, aujourd'hui ce n'est pas pour l'argent qu'ils vont se battre mais pour la sécurité de leur ville.
Tous unis face à une menace qu'ils n'auraient jamais pu imaginé.
Décrivez dans ce premier post comment votre personnage est arrivé ici. Vous pouvez arriver en groupe ou seul, mais surtout n'oubliez pas que les Beasts ont envahit les rues, il n'est pas sûr de rester seul dehors.
Joshua Maxwell
Invité
Invité
Dim 9 Avr 2017 - 12:57
Quitter le Bronx n'est jamais de tout repos. Il n'est décemment pas conseillé de sciemment s'en éloigner lorsqu'en Phillia on fut transformé. À peine toléré ailleurs, tout juste respecté en son sein, le Bronx n'est guère moins qu'un sanctuaire où errer sans craindre les railleurs. En tant que Phillia forcément ; et les règles y sont par ailleurs moins strictes qu'au-delà des frontières. Une fois passées, les barrières que l'on pensait traitresses et barreaux de tristesse semblent égides rassurants et rigides remparts.
Au dehors, au nombre de badauds record, on conçoit que les cages du Bronx n'ont peut-être pas pour vocation de seulement parquer des groupes hybrides. Aux bribes de conversation, aux sons odieux, aux hostilités et au racisme... et si les murailles n'étaient pas ce qu'elles sont pour protéger les Phillia de l'horreur d'autres xénophobies acerbes ?
Mais parfois, la faim est plus fort que la raison, et le besoin de satiété de tout un peuple prévaut la prudence d'une seule âme. Et c'est l'arme à la main, la larme au cœur, que l'acteur inhumain s'engage sur le chemin du Queen's et des entreprots JFK, l'ancien aéroport, où l'on garde les rations non avariées à usage du new yorkais moyen. Pas du Phillia moyen.
Pas de Quincy. Pas de Sasha.
Alors il enlève son manteau qui le limite, puis rabroue les enfants qui l'imitent. Il enjambe la barrière, franchit la limite. Son bras affranchi de sa camisole, il s'isole et fuit vers l'aéroport. Il y parvient vite. La nuit le vivifie et l'agite. Au gibet d'une tour éraillée, il épie les entrepots. « Ci-gît marchandises à dérober ». Avec plaisir, pense-t-il. L'enceinte est polie de barbelés qui ne saurait arrêter Quincy et son écorce boisée. Il y avilie la grille d'une poigne d'écorce et perce un trou assez large pour qu'il puisse s'y glisser. Tapi dans les herbes libres qui grignotent toute la ville, il vise les gardes, les évite puis sourit de plaisir. Facile.
Tout ça aurait pu s'arrêter là, tout ceci aurait pu continuer ainsi. Mais les sirènes sonnèrent le glas d'une nuit calme.
Ô que la panique est belle quand elle saisit les autres.
Les gardes se ruèrent en groupes. L'alarme ne signifie qu'une chose et une seule. Les Beasts.
Quincy se redressa d'un bond. Pas réellement de panique. Ou si, mais pas issue d'une inquiétude pour soi. Dans le Bronx, là-bas, personne n'est à l'abri. Et lui, ici, même seul, il ne se sent pas menacé. Il ne l'est pas vraiment. Il n'a pas peur. Mais beaucoup de questions s'immiscent dans son esprit. Où sont les vigiles ? Pourquoi maintenant ? Dans quel état va-t-il retrouver son quartier ? Et s'il profitait du trouble des gardiens pour s'infiltrer dans le bâtiment et y ravir les vivres qui fera vivre son quartier et les ravira ?
Quelques secondes de réflexion plus tard, il s'accroupit de nouveau dans les hautes herbes. L'observation est la clé. Il réglerait la question après.
Invité
Invité
Invité
Jeu 13 Avr 2017 - 5:07
can't you hear them running ?Better you should pray to God The Father and the Spirit Will guide you and protect you from up here (( Hidden Citizens → Silent Running ))Des cris. Un, deux, plusieurs. Des cris de peur, des cris de douleur, voilà ce qu'il l'avait réveiller en cette journée qui lui avait pourtant sembler calme lorsqu'il était revenu dans son travail tard dans la nuit. S'étant cacher dans la chaleurs des couvertures de son lit, l'odeur de l'alcool couvrant ses mains venant doucement donner un doux parfum à ses draps, son repos fut toutefois soudainement interrompu. D'abord, un bruit sourd. Une lourde et grave sirène. Un bruit qui lui rappelant bien de mauvaise choses. Un cri de la ville que l'enfer recommençait sur terre. Un frisson le prenant, ses mains se tordant en deux poids bien serrer, il s'était lever. Son corps s'approchant de la fenêtre de sa chambre, son cerveau ne prit pas longtemps avant de prendre une décision. Attrapant ses effets, s'habillant rapidement, il sortit. Percer sur le balcon de son appartement, il regarda ses voisins être prit de panique. Tendant une oreille curieuse, essayant d’assimiler le plus d'information possible dans les cris et les exclamations que certains jappait, il haussa les sourcils lorsqu'il comprit que la ville était de nouveau attaquer par des beasts. Ses dents venant de loger dans le creux de l'un de ses lèvres, sa colère lui grimpant au visage, l'hybride ne réfléchit pas à deux fois avant de s'élancer dans les cieux.
Une cigarette se consummait lentement entre tes lèvres pulpeuses, tu restais devant la porte du bordel, une ambiance pesante dans le Bronx. Tu finissais ce doux poison avant de l'écraser sous ton pied. Alors que tu poussais la porte de l'établissement, une sirène brisait ce silence de mort dans les rues, les cris se faisaient entendre au loin, la panique hantait la ville. Des grognements monstrueux résonnaient au loin. Alors c'était maintenant qu'elles décidaient d'agir ? Une boule au ventre, tu rentrais. « Les filles, allez toutes vous mettre à l'abris, qu'aucune de vous ne sorte. Il semblerait qu'il y ai enfin de l'action de la part des beasts. » Rien ne pouvait leur arriver si elles suivaient tes instructions. « Si jamais il y avait un problèmes, celles qui ont une mutation offensive, protégez les autres. Je reviendrais, tout ira bien. » Tu te dirigeais dans ton bureau pour prendre quelques armes et des munitions qui se révéleraient sans aucun doute bien plus utile que ton vulgaire revolver que tu gardais constamment sur toi.
Il est temps de contre attaquer.
Tous tes sens étaient à l'affût alors que tu te rapprochais de la source de cette agitation. Les cris résonnaient d'avantage, les moins téméraires, effrayés fuyaient comme ils le pouvaient. La peur avait prit le contrôle. Tu aidais quelques personnes à se mettre à l'abris de ces horreurs. Le chaos, encore une fois.
Traîner dans le Queens, c'est pas dans tes habitudes, faut bien l'admettre. Généralement, tu restes dans les quartiers ou t'es presque sûr de pas te faire tomber dessus par la clique de tarés du tyran. Mais d'après les autres, dans les arènes, il manque des beasts. On est en rade, les cages sont vides. En soit, c'est pas si terrible, parce que t'es habtué depuis quelques années à partir en expédition dans New York pour aller en chercher, mais aujourd'hui c'est différent. T'as passé trois heures et demi à la recherche d'une beast qui pourrait régler son compte à un jouteur un peu trop fanfaron -t'es le seul à avoir l'autorisation de l'être, après tout- mais t'as rien trouvé. Rien de rien. A croire que le Bronx est rempli de beasts faibles et qui mériteraient tout juste de se faire tuer par des mercenaires de Maxwell.
Et du coup, à force de galère, t'as traversé l'eau, pour aller dans le Queens. Parce que ça te paraissait être un endroit dangereux, mais pas trop loin non plus. T'avais pas grand chose sur toi. Une batte de baseball assez solide pour fracasser le crâne d'un gros pigeon ou d'une fourmi un peu trop insistante, ton courage et ton don. L'idée, c'était de les calmer et de les bloquer, le temps de les terminer à coup de batte. Parce que c'était pas ton truc, de rentrer dans le tas avec un gros fusil. C'était pas assez...flamboyant.
T'es pas trop certain de pourquoi les alarmes sonnent depuis quelques temps. Tu sais que ça t'énerve et que c'est probablement pas un très très bon signe, mais t'as croisé aucun des flics que tu pourrais craindre, alors t'as continué ta démarche. Tu sais comment les attirer, les beasts, de toute façon.
"EH OH. LES TETES DE NAZES. JVOUS ATTEND. QUI VEUT FAIRE UN PETIT TOUR DANS LA CAVE DE TONTON AUSTIN?"
T'avais le truc pour les entrées en matières bruyantes.
Invité
Rick N. Montgomery
Coup d'Jus
Métier : Garde Royal
Mutation : Contrôle de l'électricité
Sam 15 Avr 2017 - 14:28
EVENT 1.1 GROUPE 2
l'attaque des Beasts
L'alarme sonne, encore, toujours, il tente de l'ignorer, mais son steamgram se met lui aussi à hurler dans sa poche. Il regarde Emily, tentant de lui faire comprendre par le regard qu'il doit vraiment y aller. Oh il sait qu'elle va se mettre à crier, l'insulter très certainement, il lui avait promis après tout. Coincé dans le costume qu'elle lui avait demandé de porter sachant pertinemment qu'il ne supporte pas ça, il avait pourtant fait un effort pour elle, parce que depuis le décès de son coéquipier il était insupportable, déprimant et inutile.
"Emily, je dois vraiment y aller … - Comme d'habitude Rick, tu as toujours mieux à faire que de simplement manger avec moi. - Mais … - Allez vas-t-en, tu te rattraperas en m'offrant une nouvelle robe et des chaussures qui vont avec."
Rick ne retient pas sa réflexion, il est trop pressé pour ça. Il se relève, dépose un rapide baiser sur les lèvres parfaitement glossée de sa femme avant de desserrer sa cravate et de quitter la maison. Ses ordres sont clairs, il doit rejoindre le Queens et protéger la population des Beasts, alors il court, aussi vite qu'il le peut, Zigzag sur l'épaule commençant à grogner.
"Ta gonzesse est vraiment une emmerdeuse, tu devrais la quitter. - Si c'était si simple, je ne l'aurais pas épousé."
Léger rire alors qu'il attrape son masque dans son sac pour le glisser sur son visage, heureusement qu'il a pensé à le prendre quand même, ça serait devenu compliqué s'il avait dû se battre sans. Il l'aurait fait de toute façon, mais au moins il n'aura pas à se tuer lui-même en protégeant la population. Le roux finit par se stopper dans un des quartiers habituellement rempli du Queens, il n'y a personne aujourd'hui ou du moins presque personne, quelques inconscients sont encore là dans les rues. Il n'y a plus qu'à attendre, attendre que les attaques commencent.
"Allez v'nez bandes de cons !"
Zigzag toujours trop enthousiaste. Rick sourit, l'air crépitant autour de lui.
Rick N. Montgomery
Beast
Rrrrrrrr
Sam 15 Avr 2017 - 14:32
EVENT 1.1
l'attaque des Beasts
La Beast s’avance vers vous ; immense. Elle dépasse certains des immeubles les plus petits. Ses lourds pattes griffues résonnent sur le sol à chacun de ses pas. Ses deux gigantesque ailes battent la mesure alors que sa gueule s’entre-ouvre ; crocs luisant. Elle est affamée ; prête à vous dévorer. Faites attention à cette queue de scorpion ; ce dard venimeux qui pourrait vous tuer en moins de deux. La Manticore est arrivée ; rugissement retentissant.
Fuir ou combattre ? Saurez-vous vous unir ? Finirez vous par périr ? Les jeux sont lancés ; Les dés décident de votre destiné.
Beast
Invité
Invité
Mar 18 Avr 2017 - 2:13
can't you hear them running ?Better you should pray to God The Father and the Spirit Will guide you and protect you from up here (( Hidden Citizens → Silent Running ))Ses yeux parcourant les rues, les moindres détails l'interpellant, il était à l’affût. Un mouvement, une ombre, le vent soufflant quelques papiers jusqu'au bout de la rue, il analysait tout. Il dévorait la moindre d'information venant s'offrir à son cerveau alors que le temps s'écoulait lentement. Trop lentement même. S'étant diriger vers les rues pour prendre quelques personnes dans ses bras pour les mener à l’abri plus loin, préférant prévenir que guérir, il attendait. Il savait que quelques choses allait se produire. Les sirènes de la ville ne criait jamais pour rien. Silencieuse depuis de nombreuses années, il devait y avoir quelques choses de bien assez gros dans la ville pour que l'état d'urgence ne se dessine si vite. Un vent chaud d'adrénaline lui soufflant au visage, ses sourcils se fonçant dans l'appréhension d'une telle bête, sa patience ne prit pas beaucoup de temps avant d'être satisfaire. Il la voyait. Ses iris bleu se posant sur la bête imposante, il fut prit d'un frisson lorsqu'elle se dévoila petit à petit. Cette pair d'aile, ce corps massif de muscle et de fourrure. Cette gueule béante dévoilant une machine pouvait broyer qui ou quoique ce soit et cette queue de scorpion venant tout droit des enfers. Sentant une goutte de sueur lui couler le long du front, l'hybride ravala sa salive avant de réagir rapidement. Son visage se penchant de nouveau vers les rues, il chercha avec un peu de panique les gens qui serait encore au sol avant d'en apercevoir quelques uns. Perplexe, se demandant ce qu'ils pouvaient bien faire là, il se fit à l'idée qu'ils devaient avoir été appeler à combattre. Des Agape, des Due ou tout autre classe, il n'en avait aucune idée, mais il devait de se proposer pour les aider à sortir de là en cas de panique.
" Ne les craint pas. "
Se chuchota t-il à lui même alors qu'il ouvra de nouveau ses grandes ailes noirs et se laissa planer jusqu'à une demoiselle ayant attirer son regard. Ses pieds touchant le sol, faisant quelques pas vers l'avant, il essaya de ne pas lui faire peur de par son arriver et essaya de refermer ses ailes le plus vite possible.
" Puis-je vous proposer un endroit plus sûr que les rues, madame ? "
L'ambiance se faisait plus oppressante, malgré les cris et les pleurs, un silence morbide s'installait dans les rues. Et puis les bruits de pas qui se rapprochaient. Une boule au ventre, tu restais presque figée sur place en l'entendant se rapprocher. Le son de ses pas se faisait bien plus terrifiant. Il te dévorait les entraille. Il était immense, imposant, monstrueux avec ses attributs venant de toute sorte d'animaux. Créature chimérique tout droit sortie d'un roman de mauvais goût. Elle était pourtant là. Tu reculais de quelques pas, caressant du bout des doigts l'arme qui se trouvait sous les pans de ta jupe.
Quelle monstruosité.
Une silhouette se rapprochait de toi, une crinière cendrée. Ton regard se posait sur ses ailes couleur obsidienne. « Puis-je vous proposer un endroit plus sûr que les rues, madame ? » Un petit rire s'échappait de tes lèvres, brave homme. Petit clin d’œil assuré à ce dernier. « Ai-je l'air d'une demoiselle en danger, trésor ? » Les balles cliquetaient entre tes doigts alors que tu sortais l'arme qui était fermement attachée à ta cuisse, tu chargeais habilement ton arme tout en laissant le cran de sécurité enclenché. Hors de question de fuir. Ton regard balayait les rues, cherchant du regard quelques fous qui auraient osés se mesurer à cette chimère. Quelques cris résonnaient dans les rues vides, des provocations, sans aucun doute lancées à l'attention de cette affreuse beast. « Par contre s'il y en a dans le coin, on devrait les rejoindre. » Sourire assuré à l'inconnu, tu lui faisais signe de partir pour chercher quelques idiots ou téméraires qui osaient se mesurer à cette chose inhumaine.
The Big Apple. Avec une telle appellation, ça ne pouvait appeler que de gros vers. Même Quincy qui se terre dans le terrain en jachère des pourtours de l'aéroport peut voir la silhouette de la chimère. Son échine lèche les nuages bas et détoure la skyline des rares immeubles encore dressés. Ses yeux glacés se gèlent. Dans sa parcelle qui n'intéresse même plus les gardes, Quincy en omet le bronx et celles qu'il recèle. Sasha entre autres.
La langue de feu détone dans le ciel noir. Les rues s'embrasent à l'horizon, comme si un soleil nocturne s'apprêtait à se lever. Quincy est presque persuadé d'entendre les hurlements de centaines de Jeanne d'Arc dans le brasier infernal que le Cerbère trace sur son passage, comme une traînée de poudre à canon. Mais les sirènes brûlent les tympans, alors il doit se tromper. Et puis il est trop loin. Même les oreilles de Koriri ne sont pas si affutée. Mais son esprit l'est. Plaquée sous son aisselle, tête en bas comme une vulgaire chauve-souris, la petite hippocampe observe, tétanisée, l'immeuble qui s'immole soudain au loin. Et l'image s'immisce, alors elle s'immunise en fermant les yeux.
-T'es trop sensible Ko'.
Elle ne répond pas. Pourquoi répondrait-elle ?
-Tu vas rester là sans rien faire ? -Non. Je vais prendre la bouffe et me tirer. -Tu vas faire ça ? -Je sais ce que tu vas dire. C'est le Queens. Ils se démerdent très bien seuls. -Sans cœur ! -Je m'inquiète pour le Bronx. Y'aura ni Agape ni d'Eros pour le protéger. -Je crois pas que Godzilla attaque le Bronx, Quin'. -Et je peux rien faire contre Godzilla. Je ne me sacrifierai pas pour des inconnus.
Elle ne répond pas. Pourquoi répondrait-elle ?
Le problème, Quincy le sait, c'est qu'il doit repasser par la ville. Ressasser ses options, c'est perdre un temps essentiel. S'éterniser sur des détails, c'est bannir tous les sentiers à la fois. Alors qu'il faut bien en choisir un. Bon ou mauvais. S'il veut s'assurer que le Bronx est sain, il faut s'aventurer dans le Queens, courir à sa perte. Le centième refrain s'entonne au loin comme les sirènes tonnent en boucle leurs ennuis. Dans le Bronx, qui sait ce que sera l'état de la ville s'il perd son temps ici. Possible qu'il ne soit là bas d'aucune utilité, mais, ventre à terre dans une terre en friche, il est certain qu'il ne soi là bas d'aucune utilité.
-Direction le Bronx. -Tu vas devoir passer par le Queens, Quin... -Finis pas ta phrase.
Il éventre un peu plus le trou dans le grillage en y passant son bras on ne peut plus épais. Le vent frais le fait à peine frissonner. Les nuits dehors, les jours au trou, il connait depuis son plus bas âge. Sa course n'est pas sans effrayer les passants plutôt au courant. Il use de son bras dément comme un singe utilise ses bras ballants. Il s'accroche aux murs, aux toits, se balance d'une rue à l'autre, d'un lampadaire désuet à l'autre. Avec cette armée de beasts qu'il croise dans les regarder, pas étonnant qu'un habitant pénitent soit froissé par son apparence de Phillia. Et finalement, un building s'écroule devant lui, le coupant dans sa course folle. Il s'en va rouler bouler sur un coin de trottoir fissuré.
La chimère est là. Koriri laisse échapper un glapissement humain et s'enfuit se cacher derrière la nuque de Quincy.
-Et tu voulais que je fasse quoi que ce soit contre cette gueule là ? -Non, je pensais que tu pourrais mettre la population à l'abri... -Mais tout le monde ici à de vrais pouvoirs, pas des cornes ou des bras en écorce. -Mais beaucoup de leurs pouvoirs servent à changer l'huile en eau ou à parler aux oiseaux... -Ne dis pas un mot de plus...
La chimère est là. Ses ailes... Elles pourraient souffler la ville entière... Sa gueule... Elle serait à même de dévorer des gratte-ciel tout rond... Sa queue... Il vaut mieux ne pas y penser... Seul point positif, pas de mère qui hurle avoir perdu sa fille ni de gamine cherchant sa poupée aux pieds de la bête. Et bête n'est qu'un euphémisme pour garder quelques points de santé mentale. Eux font mine de résister, avec leurs ailes et leurs flingues,
Quincy se trouve au niveau de l'arrière train de la Manticore. Sur sa gauche. Elle ne l'a pas vu. Elle regarde devant elle. Elle commande à une armée. Sans mots sans cris, son armée de beasts plus petits l'écoute. La Manticore mastique, les beasts déchiquètent. Elle est unique, eux sont nombreux. Un avantage pour les résistants de New York : Plus l'armée est nombreuse plus elle est aisée à vaincre. Pour la chef, ce sera une autre histoire.
Invité
Rick N. Montgomery
Coup d'Jus
Métier : Garde Royal
Mutation : Contrôle de l'électricité
Ven 21 Avr 2017 - 18:42
EVENT 1.1 GROUPE 2
l'attaque des Beasts
- Oh putain …
Les mots étaient sortis avant même qu'il est pu y réfléchir. Des Beasts il en avait déjà vu, des dizaines et des dizaines, certaines uniques, d'autres identiques, mais c'était bien la première fois qu'il en voyait une comme ça. Une autre immense. Une qui lui filait des frissons de peur. Parce qu'à cet instant, oui il avait peur, parce que cette saleté avait très certainement la force de le tuer d'un coup de pattes. Il avait peur parce qu'il savait qu'il n'avait aucune chance. Aucune. Pourtant il ne fuit pas et ce n'est pas seulement parce que ses jambes sont incapables de lui obéir, non, c'est parce qu'il est idiot, inconscient et que son envie de protéger les gens est bien plus forte que sa peur. Alors il sourit derrière son masque.
- Non Rick, non, on se tire d'ici, tu laisses les pro faire ça, la SPA, la fourrière, j'en sais rien, mais on se barre. - Bah alors Zigz', je pensais que tu avais des corones. - La ferme abruti.
Il attrape alors le pistolet dans son sac avant de le lancer derrière lui avant de le lever vers le ciel et de tirer avant de laisser l'électricité rejoindre la balle pour la faire exploser dans le ciel comme prévenir la population comme les autres Agapè qu'un danger rôde à cet endroit. Il espère vraiment obtenir du renfort, de n'importe qui, au fond il s'en fou royalement, mais il a vraiment besoin que quelqu'un vienne rapidement l'aider, parce que seul il ne pourra rien faire.
Rick N. Montgomery
Beast
Rrrrrrrr
Lun 1 Mai 2017 - 12:02
EVENT 1.1
l'attaque des Beasts
La balle d'électricité fuse en un bruit ahurissant — surprise, stupeur. La manticore lève les yeux au ciel un instant avant de rugir. Un rugissement qui fait trembler le sol — un rugissement qui vous rends sourd un instant. Ses yeux infernaux se fixent sur l'instigateur. Il semble si petit — une simple fourmi que le monstre s'apprête à écraser. Ses pattes foulent le sol, chargeant vers cet homme au masque et son acolyte bien trop bruyant.
La Manticore s'élance vers Rick et Austin, les yeux fixés sur leur silhouette, elle ne fait pas attention au reste. Dans quelques foulées elle sera là, prêtre à plonger ses crocs dans leurs chaire.
Beast
Rick N. Montgomery
Coup d'Jus
Métier : Garde Royal
Mutation : Contrôle de l'électricité
Lun 15 Mai 2017 - 19:32
EVENT 1.1 GROUPE 2
l'attaque des Beasts
L'air crépite, l'électricité lèche ses bras où des lignes rouges serpentent sur sa peau. Les brûlures dû à l'utilisation de son don sont minimes lorsqu'il n'utilise que l'électricité statique dans l'air, mais elles sont là malgré tout. Il la voit alors, elle ne semble pas avoir apprécié le bruit produit par l'explosion de la balle, c'était peut-être une mauvaise idée. Il sent Zigzag quitter son dos avant de fuir aussi vite que possible, fuyant la cible de cette bête enragé, manquerait plus qu'elle prenne un coup parce que son lié est un idiot, non mais oh.
Rick trop entêté, trop idiot, il fléchit les jambes, laissant l'électricité former une boule entre ses doigts crispés. Si elle veut lui foncer dedans, elle sera surement heureuse de recevoir un petit coup de jus au passage. Toujours aussi souriant malgré ses jambes tremblantes et ses pensées qui s'affolent. Sûr de lui malgré la peur qui lui dicte de fuir, de se tirer de là aussi rapidement que possible. Il se prépare, il n'aura surement pas le droit à une seconde chance. Ses doigts se referment par réflexe autour de la boule d'énergie dans sa main alors que la Beast arrive enfin à lui, il se jette alors sur le côté, envoyant la boule avec toute la force dont il peut faire preuve en direction de cette bête.
Roulade contrôlée avant qu'il ne s'écrase maladroitement dans un mur en ruine. Pas le temps de souffrir, il relève les yeux vers la bête, la brûlure est visible sur le haut de sa patte gauche. Rien de vraiment handicapant, mais au moins il a réussi à la toucher sans se faire bouffer au passage, c'est déjà un exploit. Il se relève alors, passant sa main dans ses cheveux roux pour constater qu'il a un coup sur la tête, rien de mauvais, juste assez pour le faire saigner, un peu.
Rick N. Montgomery
Joshua Maxwell
Βασιλευς
Lun 3 Juil 2017 - 22:29
EVENT 1.1
l'attaque des Beasts
Les yeux de la Manticore s'agitent, toutes griffes dehors elle s'enfonce dans le sol pour prendre appui afin de foncer droit vers celui qui a osé la blesser. Elle voudrait lui foncer dessus, le dévorer, sentir son sang dans sa gorge, le tuer seulement pour le plaisir, mais lorsqu'elle s'apprête à le charger, les vitres, les miroirs, toutes les surfaces réfléchissantes deviennent des écrans. Des écrans qui montrent une grande silhouette. Long manteau rouge, sourire effrayant alors la bête s'arrêtent et hurle, ses crocs monstrueux se dévoilent et elle fait demi-tour, quittant la rue avant de s'envoler pour fuir.
Vous ne comprenez pas ce qu'il se passe. Vous ne savez pas pourquoi cette Beast qui aurait tous pu vous tuer s'enfuit, ni même qui est cet homme qui semble vous regarder à travers ces écrans. Vous ne savez pas à quoi vous entendre après tout ça, mais une chose est sûr vous voulez en savoir plus. Alors vous fixer cette vitre brisée pour espérer en voir plus.