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| | Mar 4 Juil 2017 - 22:58 Xana X. Reid Mercy (Overwatch) PHYSIQUE ref : Mercy - Overwatch cheveux : Blonds, entre longs et mi longs yeux : Clairs, bleus, insistants et neutres couleur de peau : Plutôt pale, quelque peu fraîche et transparente taille : 1m69 poids : 62 kg style vestimentaire : De manière sobre, des vêtements classiques, une certaine neutralité marquée avec une touche de féminité. Elle apprécie particulièrement porter sa longue blouse blanche de docteur. autres : Boucles d'oreilles parfois portées, ainsi qu'une paire de lunettes de repos parfois | INFORMATIONS nom : Reid prénom : Xana Xavier (oui, c'est un troll) surnom : Docteur Reid / Xanax rang : Dr. XX ou Doc. XX âge : 34 ans sexe : Femme espèce : Mutant caste : Agape métier : Docteur de la garde royale, elle s'occupe parfois aussi d'urgences dans les rues ou des Agapè pour les cas particuliers nationalité : Américaine statut social : Riche statut marital : Célibataire quartier : MANHATTAN spécialité : Soigner les personnes malades ou blessées, écouter les personnes qui ont des problèmes et les soutenir, changer l’alcool en de nombreux liquides douteux (encre, sirop de grenadine, jus de carotte, sirop pour la toux ou encore juste de l’eau...), jouer du piano, pousser les portes avec ses hanches ou son fessier, éclater les bulles de son chewing-gum en plein sur le visage, oublier l'existence de ses lunettes quand elle les a sur elle FAMILLE parents : Michelle et Jason Reid, deux parents aillant des revenus très élevés, ils vivent tout deux au Royaume Uni à la campagne dans une villa de luxe. Elle n'a pas vraiment de nouvelles depuis la Lune Rouge. frères/soeurs : Jackson Reid, un grand frère décédé. Elle était proche de lui, mais la société les a séparés. enfants : Non mari/femme : Non animal : Non autre : La solituuuuude FAITS EN VRAC × A tendance à laisser du dentifrice sur ses vêtements le matin, maladroitement elle oublie de l’enlever × Apprécie étrangement les blouses blanches, Xana trouve que ça donne un style chic et classieux × Elle N’assume pas de ne pas savoir sauter à la corde ×Elle ne peut pas s’empêcher d’admirer les jolis tableaux dans les musées, elle voue un culte pour le cinéma et la musique, plus particulièrement pour le piano (elle en joue particulièrement bien), elle apprécie également la danse mais n'est pas très douée avec la coordination de ses pieds × Le Docteur aime changer le contenu des verres de certaines personnes en soirée uniquement pour s’amuser × Il lui arrive de faire régulièrement du sport et entretient son corps comme elle peut × Elle parle actuellement trois langues, l’allemand, l’anglais, et l’espagnol × Elle désire vivre un jour sur la plage si tout cela se termine, rêvant du bord de mer et de pouvoir naviguer en liberté, c’est un rêve d’enfant × Préfère la nuit au jour, elle a tendance à ne pas trop dormir mais se retrouve vite épuisée le lendemain… × Oublie souvent qu’elle a ses lunettes sur la tête ou dans une des poches de sa blouse × Peut paniquée vite lorsqu’une personne lui plait, elle perd vite son sang froid, dans ce type de situation × Trouve que les ballerines sont le fléaux de l’humanité × Écrit comme un déchet, c’est illisible, vraiment… × A une plus grande attirance pour la gente féminine que masculine (gaaaay) × Dès qu’elle sort d’un bâtiment et que la température est différente, elle éternue × SOCIETE Que pense-t-il de la Lune Rouge ? Elle semble sceptique, elle se dit que la lune rouge est quelque chose qui a vraiment tout changé et qui apporte à la science de nouvelles réponses sur le monde, d’un autre côté, elle se doute que certaines réponses ne sont pas des plus agréables à attendre. Certaines ont été très marquantes jusqu’à présent. Que pense-t-il du gouvernement de Maxwell ? Elle n’est pas d’accord avec toutes les mises en place du gouvernement, mais il a tout de même une utilité scientifique qu’elle apprécie fortement, c’est indéniable. Que pense-t-il des pouvoirs ? Elle est fascinée par les pouvoirs. Ces derniers sont une sources d’inspiration pour les sciences, et pour elle même. Elle est admirative des pouvoirs de chacun. Pour Xana, ils permettent de mieux comprendre, d’étudier le génome humain ainsi que tout ce qui entoure l’être humain. De plus, ils sont relativement utiles dans cette société, bien utilisés, entre de bonne mains, et maîtrisés. Que pense-t-il du système de caste ? Elle est consciente que les inégalités ne cessent de croître entre les différentes castes. Elle trouve ça injuste, alors que dans le passé elle préférait tout ignorer, pourtant elle ne préfère pas en parler, éviter le sujet. Que pense-t-il du statut des hybrides ? Ne se prononce étrangement pas. Que pense-t-il des Eros ? Ils sont parfois un peu brutaux, un peu maladroits. Elle trouve qu'ils n'arrivent parfois pas à faire régner l'ordre correctement, peut-être en attend t-elle trop d'eux... Que pense-t-il de Damoclès ? Elle ne veut pas porter un jugement sur un homme qu'elle ne connait pas vraiment. Seules des rumeurs étranges tournent autour de lui, elle ne semble pas s'y intéresser au final. | ANIMA nom : Grien espèce : Un caméléon commun Chamaeleo chamaeleon chamaeleonsexe : Mâle autre : Il a la capacité de se camoufler comme un vrai et apprécie étrangement faire des commentaires vicieux lorsque Xana n’entend pas. De plus, on pense souvent que la femme parle toute seule, alors que son anima est juste là, mais on ne le voit pas... caractère : Grien, est un être assez subtile parfois. Surtout quand il est à côté de Xana, il tente toujours de se montrer très humain, très empathique et il la soutient. Il apprécie rester dans la grande poche se sa blouse blanche et se balance se gracieusement lorsque celle-ci est pendue. Grien, c’est un petit être toujours collé ou presque la doctoresse, quand ces yeux ne se tournent pas vers un joli fessier en tout cas. C’est un petit bout de tendresse détaché, un petit bout d’amour recollé. Il se montre très affectueux avec les personnes que la femme apprécie, et il adore son regard lorsqu’il se met à changer de couleur, il le fait souvent pour ses beaux yeux, son sourire, et voir ses larmes fluettes monter dans ses yeux. Il trouve ça joli de la voir avec tant d’émotions. Même s’il peut se montrer un peu grossier, il n’est pas méchant, loin de là. C’est la chaleur qui réchauffe un peu le cœur du docteur lorsque les temps se montrent trop froids. Grien, bien que pas toujours visible est toujours présent, comme le vent. | POUVOIR nom : Aquam in Vinum niveau de contrôle : ★★☆☆☆ effet secondaire : Une sensation de sécheresse dans la gorge et la bouche, comme des brûlures et un goût désagréable viennent s'ajouter de plus. Il peut lui arriver d'avoir des problèmes de gorges liés à ces phénomènes. Ils sont de plus en plus forts en fonction de la quantité de liquide modifiée, et peuvent provoquer une forte irritabilité. De plus, elle a les mains devenant de plus en plus moites après l'utilisation de son pouvoir. Elle peut de plus, si elle l'utilise trop longtemps finir par changer le liquide en un autre liquide totalement aléatoire suite à la fatigue. mutation physique : Non. description : Xana peut changer la composition des liquides à sa portée. Apportant une grande concentration sur le liquide, elle peut donc changer la composition de ce qui se trouvera dans le récipient tant que cela reste assez liquide. . Néanmoins, elle ne peut pas changer la composition du sang et de certains liquides corporels comme la transpiration, l’urine, la salive... Il en va de même pour les liquides renfermés dans des conteneurs trop larges et épais. Pour ce qui est de la vitesse de changement des liquides, elle n’est pas instantanée, au plus le volume est grand, au plus elle met de temps. De plus, elle ne peut pas changer la composition de liquide gelés ou qui commencent à s’évaporer. | BEHIND THE SCREEN pseudo : Jude ou Nokhomi âge : 69 ans :c sexe : Selon Thanatos, une huitre autres comptes ? Bah oui, c'est Amber ! D: comment as-tu découvert le forum ? Partenariats, et Noah aussi suggestion : UN NOUVEL EVENT PK PAS un petit mot pour la fin : Je vais avancer tranquillement, et prendre mon temps pour ce perso je pense, à moins que je trace tout d'une traite elle me plait beaucoup. Je suis heureuse de pouvoir partir de 0 là, je vous aime beaucoup vous savez :c | CARACTERE Vous êtes passionnée Docteur Reid. Passionnée par les merveilles, par les corps en mutations, tellement passionnée que s'en ai devenue une obsession. Pour vous, ces personnes auraient du servir les sciences, pour vous, elles auraient servit à avancer, à étudier de nouveau le génome humain, mais pas forcément à subir ces sentences. Depuis ces événements, de nouvelles découvertes fusent, de nouveaux éléments apparaissent. Les informations se concrétisent, et votre soif de connaissance, votre curiosité vous pousse à vous interroger, curieuse de ces personnes aux dons particuliers. Néanmoins, ce n'est pas pour autant que vous les aimer, il y a ce malaise quand vous les voyez. Serait-ce les remords qui vous empêche de leur parler ? La culpabilité qui vous a tranché la langue ? Ou bien est ce juste ces mauvaises images qui se répètent quand vous y pensez qui rend votre regard quelque peu fuyant ? Alors, vous les évitez, vous ne pouvez pas vous en empêcher. Vous ne supporter pas les avoir proche de vous. Vous ne les rabaissez pas, mais vous avez juste cette mauvaise sensation à leurs côtés, d'avoir cette pression dans la poitrine, et cette détresse dans les yeux. Vous ne voulez pas montrer que vous êtes faible face à votre péché mignon. Que de frustrations...
Vous n'êtes pas que cette personne. Vous êtes aussi une âme aimable qui tente d'aider les autres, toujours prête à aider les personnes blessées dans les rues, déterminée. En tant que docteur, vous êtes plutôt quelqu'un de bien. Vous aimez la chaleur de vos patients quand ils finissent par raconter un peu leurs vies sur le divan lors des auscultations. Vous aimez les sourires des malades, les blessés qui reprennent peu à peu vie après le combat, voir que vous avez une utilité dans cette société. Vous semblez heureuse d'avoir de l'importance, et de mener à bien votre savoir. Peut-être voulez vous vous faire pardonner de vos pêchés ? Peut-être voulez vous que l'on oublie ce que vous avez laisser faire ? Vous avez même tendance à chouchouter certains patients, ceux qui viennent le plus souvent, les abandonnés, les plus faibles, les malchanceux, ou juste ceux qui ont besoin d'être moins seuls avec eux mêmes. Parfois, il vous arrive même de trop penser à vos patients, et pas assez à vous même. A penser à eux, à leurs problèmes, jusqu'à ne plus trouver le sommeil le lendemain matin, comme si vos sentiments prenaient le dessus sur votre logique et votre bon sens.
Vous n'êtes pas méchante au fond. Au fond, vous semblez si seule, si désolée, mais personne n'ose l'entendre pour vous. Je vous plains, au fond.Vous avez beau vous cacher derrière un masque, derrière une façade de personne assurée, il n'empêche pas que vous aussi, vous souffrez. Peut-être vous faudrait il un petit quelque chose ? L'alcool, vous savez que vous en avez déjà abusé, encore et encore, et que ça ne changerait certainement le passé, ça ne changerait pas les choses que vous avez laissée se dérouler devant vos yeux.
Vous n'êtes pas le bourreau de ses cœurs, faudrait il que vous daignez savoir ce que vous voulez, à ce niveau, faudrait il que vous sachiez qui vous voulez. Il est parfois dur pour vous de cerner vos propres sentiments, de les offrir, de laisser votre cœur se faire cueillir. Il vous est plus simple de cerner les problèmes des autres et de les résoudre tantôt que les votres... De gérer les affaires sentimentales de vos proches, et amis.Toujours plus évident quand c'est les autres. Vous aimez la compagnie, mais pas seulement. Vous appréciez que l'on vous touche, doucement, qu'on vous offre une caresse, du bout des doigts, comme pour vous rappelez que vous êtes encore là, que vous êtes en vie.
Le calme rythme votre vie, l’ordre, le sérieux, la neutralité, vous l’avez adopter et vous laissez bercer par les eaux claires d'une vie sans réels soucis matériels et monétaires. Néanmoins, il y a toujours cette chose, ce manque qui vous ronge. Vous aimez les petites perturbations, les personnes qui arrivent à mettre du piment, des épices, jusqu'à brûler votre langue et votre gosier, jusqu'à ce que vous n'en puissiez plus. Vous aimez la passion, le feu alors que vous n'êtes qu'eaux et liquides souillés, délavés par les blessures que vous vous êtes infligées.
| HISTOIRE Deux têtes blondes Tu es née à San Fransicso, dans une famille de bourgeois. Tu n’as jamais manqué de rien étant enfant, pas d’argent, pas de jouets, ni même de temps, mais peut-être un peu de la présence de tes parents. Bien que ton frère fut présent pour te protéger, pour jouer avec toi, pour t’accompagner tout les jours contre les étreintes du manque familial, ce n’était pas toujours suffisant. Vous étiez toujours fourrés l’un avec l’autre, complices et amis, complices et petits. Vous vous chamaillez, vous vous amusiez, vous rêviez comme deux enfants de divers univers, d’utopies, de dystopies. Tu étais une enfant plutôt calme, silencieuse, mais le silence chez un enfant est toujours une mauvaise chose. Un enfant silencieux cache une bêtise, alors tu dessinais sur les murs avec du rouge à lèvres, tu renversais la terre du pot de fleur dans ton lit… Et ton frère participait à son tour. Il prenait la mousse à raser et marquait son prénom en lettre majuscule, il cachait les petites pièces de monnaies dans tes vêtements… Deux gamins aussi cons, que intelligents, malins, taquins, railleurs. Ton frère, il avait toujours compté pour toi, c’était un exemple. Un était un peu différent de toi, un peu plus maladroit. Grand, blond, et toujours souriant, il avait toujours le cœur sur la main, il s’occupait toujours de toi, il te berçait déjà dans ses bras alors que tu avais une tête de moins que lui. Ton frère c’était comme une partie de toi, et tu ne pouvais pas être sans lui, il ne pouvait pas être sans toi. Protecteurs l’un vis à vis de l’autre, vous n’étiez pas toujours d’accord sur tout les points, mais votre fraternité luttait, pour l’instant contre toutes les voix, même malgré les mauvais chemins. Vous grandissiez, vous étiez toujours proches, mais peu à peu moins collés à l’autres. Les amis se faisaient plus présents dans la vie de chacun. Ils séparaient peu à peu vos mains liées, mais cela ne vous empêchiez pas de vous retrouver le soir, en famille, toujours aussi amis, toujours autant là quand ça ne va pas. Puis vous vous êtes séparés pour les études… Ses vœux n’étaient pas les mêmes que les tiens. Il partit avant toi, il partit loin de toi. De tes amis, des jolies filles tu te rapprochas, des goûts ambrés des bières, et des folies de la jeunesse. Des premières claques, des premiers râteaux, des premiers baisers, de la première cuite, de la première cigarette, de la première fois, puis de la première rupture non loin de là. Adult's MoodTu es partie à Chicago, quelques années, puis New York pour continuer tes études. La vie d’étudiant allait à peu près. Tu rencontras des personnes t’ayant marquées, d’autres pas du tout. Que se soit dans les études, ou même dans les soirées de la jeunesse. Tu appris énormément, que ce soit à travers tes relations qui finirent toujours par échouer, ou bien juste les personnes de l'hôpital quand tu étais de garde. Tu aurais pu te marier, avoir un enfant, mais rien de tout ça, comme si le bonheur finissait par toujours vouloir s’échapper une fois que tu avais réussi l’attraper, entre tes doigts, comme un lapin, comme un lutin, malin, comme l’eau qui finit par couler une fois qu’on la tient dans la paume des mains. Les coups, les baffes, l’alcool, les odeurs, les cheveux, les coups d’un soir, les fracas, le col-tard, les relations longues, ses mains, le lit, les cours d'anatomie, la science, les coups de barres, les coups de bar, ses seins, les coups de reins, les filles jolies, les regards, les jeunes hommes, le froid, les soirs, l’été, l'hôpital, les malades, les tests, les chagrins, Eden, ses lèvres, les cris, les pleurs, les disputes, les camélias, les excuses, et le vide, l'absence, les voyages et le retour, le boulot, le café, les habitudes… Et la Lune Rouge, alors que ton frère était enfin dans la même ville que toi, et l’amour lui t’avait filé entre les doigts, le paradis, Eden était partie il n’y avait pas longtemps de cela. Alpha Female Nouveau monde, nouvelle vie, nouvelle lune. Te voilà scientifique pour répondre aux besoin de cette nouvelle société. Tu avais déjà un bon profil, de bonnes capacités, tu as postulé, tu as discuté, tu as démentis, tu as longuement échangé et gagner la confiance des autres. Tu les as rejoint pour des tâches qui auraient pu t’apporter une sale réputation, des mauvais surnoms. Mais tu ne fuis pas, tu continuas. Mauvais docteur, tu ne voyais le malheur. Quand tu les voyais derrière la vitre. Ils ne pouvaient te voir. Tu les observais, le moindre de leurs mouvements, tu étudiais les répercussions sur leurs corps étrangers, sur les corps jugés trop particuliers pour cette société. Toi, peu t’importais. Les cris de douleurs tu ne pouvais entendre, tu n’avais aucune empathie, tu n’avais pas d’autres envies que de servir les sciences. Tu les voyais souffrir, eux non. Tu n’avais aucune idée de ce que cela pouvait faire, tu n’avais aucune envie de te mettre à leur place. Ils n’étaient que des numéros, ils n’étaient que des expériences numérotées, déshumanisées. Coups après coups, ils passaient les uns après les autres, ils étaient utilisés dans divers situations pour voir les réactions, leurs améliorations, leurs détériorations. Certains ne revenaient plus au bout de quelques fois, étrangement, d’autres disparaissaient au bout de plusieurs mois. Tu ne te posais pas de questions, tu ne cherchais pas les raisons de cela. Tu faisais juste ce qu’on te demandait, pour la science, parce que tu étais là pour ça. Comme une machine, comme un robot, tu n’avais pas l’air d’avoir un cœur qui battait dans ta poitrine, tu n’étais pas un cœur artichaut, tu n’affectionnais pas les mots même pour décrire ce qu’ils subissaient, car tu n’y pensais pas. Seuls à leurs corps en décrépitudes tu réfléchissais. Parfois, tu échangeais quelques mots, quelques mots avec les autres médecins à tes côtés. Vous étiez quatre, parfois trois. Tous aussi froids, tous aussi imperturbables. Vous les regardiez, comme un spectacle, comme des bêtes de foire se débattre, combattre le mal jusqu’à la fin, et proposiez d’autres produits, d’autres expériences, vous en vouliez toujours plus, jusqu’à les voir crever, pleurer, hurler, sans aucun regrets. C’était toujours comme ça, toujours aussi désolant. Où étais passé ton coeur d’enfant ?... Un jour, un jour particulier, quelque chose avait changé. Tu le reconnaissais à travers la vitre. Tu ne voulais pas l’admettre au début, mais c’était bien lui. Tu fronçais les sourcils, et te mis à grimacer devant son corps déjà balafré, abîmé par les coups, par l’inconnu. Il était différent de ce que tu avais connu de lui. Son corps avait évolué sous les rayons de la lune, tandis que seul les liquide tu pouvais changer. Ton équipe, à son habitude ne réagissait pas, juste un seul. Celui qui menait la troupe. Tu avais toujours trouvé qu’il était un peu sadique. Mais tu ne pouvais pas dire non maintenant, pas parce que c’était ton frère. Et l’expérience débuta, il actionna . Ton frère, ton ami de toujours était là, il ne pouvait te voir, il ne pouvait t’entendre. Pourtant, toi tu avais les yeux rivés sur lui, tu ne pouvais pas entendre ses cris, mais tu les entendais, tu les imaginais. Tu ne pouvais pas comprendre sa douleur, mais tu la subissais, en tant sœur tu ne supportais pas voir celui avec qui tu avais grandis dans cette situation. Tu ne supportais pas que lui, soit victime d’un tel affront. Ton humanité tu retrouvais alors, les larmes commençant à venir chatouiller tes yeux bleus, mais un barrage les empêcher de s'effondrer le long de tes joues. Ce n’était pas le moment de laisser parler tes émotions, seule ta logique pouvait s’opérer. Il y avait beau avoir eux des différents entre lui et toi, cela te blessait de voir, cela ne te laissait plus indifférente… Le jour passa, et le lendemain vint, malsain et opportun. Tu n’arrivais pas à te remettre de ce que tu avais vu. Tu n’arrivais pas à croire que tu avais laissé faire ça. Aucun mots ne pouvait décrire ce que tu ressentais. Cela faisait longtemps que tu ne sentais pas autant vivante, et pourtant tout semblait si sombre. Tu avais l’impression d’être une de ces personnes sans cœur, une de ces personnes que tu n’aurais jamais voulu devenir plus jeune. Tu y retournas, tu retournas regarder les complaintes des êtres les plus dénigrés, les plus plaintifs de cette société. Le vice, il te montait à la tête, tu avais la culpabilité qui marquait ton visage. Étrange, tu ne voyais plus ces inconnus de la même manière. Tu ne voyais plus que ton frère, tu n’imaginais que les cris, l’agonie, la douleur, et cette pression sur ton cœur s’exercer de nouveau. Tandis que ne ressentais rien jusqu’à présent, ces flux trop fort d’émotions te mettaient en émoi, tu ne pouvais continuer de la sorte. Les jours passèrent, et ce goût d’alcool brûlait encore ta gorge, les remords, l’incapacité d’avouer te rester coincer aux coins des lèvres. Tes nuits étaient bercées par les cauchemars, tes journées par ces images qui revenaient. Tu décidas donc d’arrêter, pendant quelques temps du moins. Un suivi psychologique, un suivi au cas par cas. Ils savaient que tu avais quelque chose qui avait changé en toi. Pourtant, tu savais que malgré le secret professionnel, tu n’avais pas le droit de le dire, tu ne te sentais pas. Quelques échanges seulement, et une proposition vient à ton oreille. Une illumination. Après tout, si tu quittais cette caste là, tu finirais par aller chez les Dué, tu le savais, tu en savait trop… Et tu ne voulais certainement pas te retrouver au milieu d’eux, tu allais certainement te faire tuer s’ils savaient ce que tu avais fait. Il était hors de question de te mélanger à eux… Alors on te proposa de faire ce pour quoi tu avais étudié avant, avant la Lune Rouge. Soigner les personnes de la garde Royale pour toi, et parfois les Agapè c’était un échappatoire, c’était peut-être illusoire, mais tu t’en moquais. Tu voulais quitter ta place, l’offrir à n’importe qui, tu voulais oublier, te réconcilier avec ta culpabilité, avec ta raison et ton humanité. Une nouveauté, un début à tout. Tu avais retrouvé le sourire un peu, tu étais peut-être mieux fait pour t’occuper des autres que pour étudier les réactions corporelles… Faire des expériences. C’était une renaissance qui venait peu à peu chatouiller ton sourire, le faire se redresser comme une grue de pompier. Faire revenir tes fossettes, en leur compagnie. Les écouter pour oublier, ne pas y penser, et t’attacher. La solitude se fait moins ressentir, tout comme les mauvais souvenirs. Tu n’étais pas un ange, tu n’étais pas la meilleure personne, mais tu faisais tout pour t’en rapprocher, comme pour te donner une deuxième chance. Il ne reviendra peut-être pas, peut-être est il mort, seul le temps te le dira… I don't wanna talk about it I don't wanna think about it I'm just feeling low, feeling low |
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Au'ura TauwhiroMissing Nemo | | Ven 7 Juil 2017 - 18:50 RE-BIENVENUE TOI Courage pour cette remise à 0 et pour faire ta nouvelle histoire Et ton nouveau caractère aussi! Et tout (c'est pas très avancé tout ça dites donc /OUT/) Je plaisante Amuses toi bien avec ce nouveau perso et profites en à fond! | | | | |
| | Sam 8 Juil 2017 - 0:49 Merci petite bae ça avance petit à petit C'est ce que je compte faire | | | | |
| Métier : Vendeuse d'organes
Mutation : Transplanteuse~
| Dim 9 Juil 2017 - 22:30 REBIENVENUE ! Ton nom de médoc' est rigolo, mais ça suffit pas à me piquer mon rang de "Doc" esh (En vrai garde-le, on réglera ça IRP /pan/ ) BONNE CHANCE POUR TA FICHE ! | | | | |
| | Lun 10 Juil 2017 - 12:31 Entre docteur on peut toujours trouver un compromis petite Zoé... Merci | | | | |
| | Lun 10 Juil 2017 - 21:49 C'est quoi ce titre qui porte à confusion, j'ai faillis ne pas venir te valider Ma belle doctoresse, tout semble en ordre dans tes papiers, tu t'es réformée malgré toutes les atrocités que tu as pu réaliser pour assouvir ta curiosité On a hâte de voir le chaos que tu vas pouvoir causer avec ce don de petite alchimiste Sur ce, GAAAAAAAAAAY *disparait dans un nuage de fumée arc-en-ciel à paillettes* | | | | |
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